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Leseul problème, c'est qu'après une journée de trop (en fonction de vos cheveux), les choses commencent à paraître un peu moins sans effort et un peu plus, enfin, grasses. Mais voici la lueur d'espoir: il y a du cool, styles tendance qui semblent mieux avec les cheveux sales et masquent le fait que vous avez complètement oublié un lavage.
Octo · Tout est en désordre. Les cheveux. Le lit. Les mots. La vie. Le coeur. Jack Kerouac 538 Most relevant Author Sous les pavés la plage. Source citation L'âme en rouge et noir. 4 6y 1 Reply Des textes et des ratures francis dahon Mais sous les désordres peut être le bonheur. 6y Andrea Bonaventura 6y Ville François
Assurezvous que vos cheveux symbolisent ces valeurs avec un look chic sans effort qui n’obéit à aucune règle., Laissez simplement vos cheveux être en désordre de manière « tête de lit », et vous avez terminé. dégarni Coupe de cheveux . Il est bon de bâton pour les bases de temps en temps. Si vous cherchez une coiffure de plus de
Tout est prêt pour l'amour. Cabinet - Avec excréments humains : bon présage. - Simples latrines : se garder des mauvais amis. - W.C. moderne : on aura des désagréments. Cabinets - Que l'on voit : il faudra prévoir des désagréments. - Avec des excréments humains : bon présage. - Simples latrines : se garder de mauvais amis. Câble - Que l'on voit : bonnes
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Couleurgris cheveux : traînées grises naturelles. Diane Keaton embrasse naturellement son âge et ses effets visibles. Elle n’a jamais caché ses cheveux blancs qui lui prêtent un air élégante et gentille. Cette femme et actrice extraordinaire est le symbole de la femme heureuse et belle à tout âge.
Samson— Tout est en désordre. Les cheveux. Le lit. Les nemoanimus Tout est en désordre. Les cheveux. Le lit. Les mots. La vie. Le cœur. Jack Kerouac (via nemoanimus) 5,704 notes Feb 8th, 2018 littérature française
Bobincliné en désordre avec des vagues. Quoi de mieux qu’une silhouette chic et inclinée avec une touche de désordre ? Dans ce carré moyen superposé, tout ce qu’une femme moderne veut est présent : beaucoup de mouvement vibrant, le volume éclaté et une merveilleuse sensation de style. Parce que les couches ajoutent généralement de la
FwGJRZ6. Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Re Explore le chemin de traverseInvité, le Mar 5 Sep - 1834 Merry me regarde fixement, me dévore limite du regard. Je souris et ne la lâche pas non plus. J'ai cru sentir son souffle s'accéléré à notre contact, j'ai cru sentir un frisson de son côté et j'ai cru qu'il était même parvenu dans mon corps tant nous étions proches. Je ne suis pas le seul à sourire, la jolie rousse a le même visage, le même regard, le même léger pic de battements avec des joues adorablement rosées. Mes yeux bruns ne lâchant plus ses deux perles noisettes, je me laisse aller, je chavire, elle a pris le contrôle, je suis en roue libre. Je navigue sans gouvernail, les voiles déployées, sans personne en haut du mas pour savoir où je vais, sans personne au gouvernail pour diriger, ah si, une personne pardon, cette rouquine justement. Nouveau sourire et enfin la jeune femme bouge. Elle bascule vers l'avant et m'enlace d'une coup, elle pause sa tête contre mon épaule. Tellement de sensations indescriptibles, je ne sais que dire, que faire. Enfin si, je sais quoi faire. Lentement j'entour le creux de son dos avec mon bras gauche, l'autre dans la nuque. Doucement je remonte les deux mains et commence à faire des caresses pour la détendre. On reste un long moment comme ça, je sens son souffle chaud dans mon cou, je frissonne mais je souris, je suis parfaitement heureux, je suis en parfaite béatitude."Merry..."Un simple soupire, un simple nom mais qui en veut dire beaucoup pour moi. Dans la continuité des choses, je colle mon front au sien, garde ma main sur sa nuque et commence des petits cercles avec mon pouce, j'appuie lentement avec mon avant-bras pour que plus rien, même pas une bulle d'air nous sépare. Pour moi, c'est un vrai plaisir cet instant, je le savoure, comme le meilleur des repas, le plus savoureux et le plus fabuleux. Agée seulement de dix-sept ans, chez les moldus elle n'est même pas adulte, mais pas ici. Après ça ne fait pas beaucoup d'écart, juste je ne pensais pas qu'une fille comme ça existait, surtout si elle étudie encore à Poudlard. Mais je m'en fiche, royalement, je suis bien en sa compagnie et je pense qu'à mon bonheur. Et au sien, bien entendu, ça va de soi. Je ferme les yeux, je m'imagine déjà poser mes lèvres sur elle, sur les siennes, lui donner le plus doux des baisers. Mais comment réagirait-elle? Ressent-elle ce que je ressens? Est-elle amoureuse? Autant que moi en tout cas? Et avec ce qu'elle a vécu, peut-elle encore tourner la page? Se dire qu'elle puisse faire confiance à une nouvelle personne, à un adulte? Si seulement je l'avais connu plus tôt, que je sois encore à Poudlard pour lui montrer au quotidien que les gens ne sont pas tous comme ça. Ce manque de chance de tomber toujours sur les mauvais, je compte bien inverser la tendance. Mais le problème? J'hésite encore... Je ne sais quoi faire... Ce n'est pas un manque de courage, je ne veux juste pas la brusquer, la déstabiliser ou encore pire tout gâcher... Je ne me pardonnerais jamais si je la vois partir de ma vie, maintenant ou plus tard, mais ce que je sais, c'est que je m'en voudrais d'autant plus si je passe à côté de ça, à côté de la meilleure des relations avec cette une main je redresse son menton pour qu'elle me regarde, mon visage se rapproche dangereusement du sien, il est trop tard pour rigoler ou peut être que non... Je sais plus où j'en suis. ET puis mince, soudainement je dépose fougueusement mes lèvres contre les siennes fermant les yeux. Ma main remonte de la nuque jusqu'à la tête et la pression est plus forte pour intensifier cet instant. Si elle ne veut pas de moi tant pis, mais en tout cas je serai fixé. Bon sang ce que je l'aime. Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Lun 11 Sep - 1233 Tout allait pour le mieux. Merry s'était libérée de toutes ces ondes négatives qui l'avaient enfoncé dans le sol durant des jours et des semaines. Elle avait été seule durant un temps dans son chagrin et dans sa souffrance, ne trouvant pas d'aide pour surmonter ce qui la faisait puis Albus était arrivé dans sa vie. Ils s'étaient rencontrés dans la Forêt Interdite alors que la jeune femme n'aurait pas dû s'y trouver. Complètement alcoolisée, Merry aurait pu être arrêté par l'Auror qu'elle avait devant elle. Mais il n'en avait rien fait, il l'avait juste raccompagné en lieu sûr, se fichant pas mal de la plaque qui ornait son manteau à ce moment là. L'ancien Poufsouffle avait depuis été là pour elle, même si les coïncidences, qui ont fait qu'ils se sont croisés plusieurs fois, ont joué un rôle dans tout ça. Mais la Harper ne voulait pas croire aux coïncidences. Cela faisait plusieurs soirs qu'elle se posait tout un tas de questions concernant le jaune et noir, concernant ce qu'elle éprouvait pour lui et pourquoi elle se sentait aussi proche et attirée par lui. Mais il n'y avait pas vraiment de réponses à tout ceci... C'était ainsi, la rouquine appelait ça le destin, ce qui la faisait beaucoup sourire. Le destin avait parfois été cruel avec elle. Mais elle savait que cette partie de sa vie, que le destin lui offrait, était une bonne chose pour elle. Et elle savait déjà que cette bonne chose resterait un long moment à émerveiller son quotidien. Elle le pressentait, comme si l'inverse était tout simplement beaucoup de choses retenaient la britannique de faire le premier pas, de dire quelques mots qui inciteraient l'ancien Auror à lui poser plus de questions, à vouloir comprendre ce qu'elle ressentait. La timidité de la rouge et or prenait le dessus, la peur que ces sentiments qu'elle éprouvait et qui étaient bien réels, ne soient pas réciproques. Pourtant, ce n'était pas comme si Albus était distant avec elle, il était attentionné avec elle, il la protégeait... Ce n'était pas comme si il s'agissait d'une simple élève à ses yeux, qu'il avait rencontré et qu'il aidait en tant qu'ex Auror. Toutes ses paroles et tous ses gestes le montraient à la rouquine... Mais elle avait si peur de se tromper et de tomber en plein cauchemar alors même qu'elle était dans un rêve, sur son petit tête appuyée contre l'épaule du beau brun, Merry cachait sa tourmente, se demandant si elle aurait dû aller plus loin ou non. Mais le simple fait qu'Albus la serre dans ses bras et lui caresse la nuque lui faisait un bien fou, bien qu'elle se demandait si une personne qui la considérait seulement comme une amie aurait fait une chose pareille, un geste aussi affectueux et proche...Albus chuchota le prénom de la rouquine, seul son qui brisa le silence qui s'était installé dans la ruelle depuis que le jaune et la rouge s'étaient arrêtés... Même la nuit semblait être plus silencieuse qu'à l'ordinaire, offrant un magnifique moment aux deux sorciers qu'elle accueillait sous sa contre tête, front contre front, la seule chose qui permettait à Merry de savoir que le temps ne s'était pas arrêté, était l'affection d'Albus qui continuait ses gestes tendres aux creux de la nuque de la jolie rousse. Un léger sourire aux lèvres, Merry ferma les yeux un instant, profitant du moment, ce moment qu'ils vivaient juste tous les deux et qu'elle ne voulait pas briser de peur qu'il s'éloigne d' les yeux, la lionne observa le jaune et noir qui semblait en proie à une intense réflexion, paupières fermées. Fronçant un sourcil, la jeune femme s'apprêta à prendre la parole pour savoir ce qui pouvait bien le tourmenter. Mais l'ancien Auror ne tarda pas à ouvrir les yeux, remontant le menton de Merry face à lui qui laissa son regard se perdre dans celui du jeune homme qu'elle avait en face d'elle. Ce jeune homme pour qui elle éprouvait des sentiments forts qui la perturbaient autant qu'ils la rendaient heureuse. Comme si elle avait pensé ne plus pouvoir ressentir cela un jour... Elle n'avait d'ailleurs jamais ressenti cela auparavant. Il était différent, ses sentiments étaient différents. Elle seule pouvait le savoir et le sentir. Mais elle en était dans les yeux d'Albus, Merry constata que leurs visages se rapprochaient, ne laissant que quelques centimètres entre eux. Qu'est ce qu'elle devait faire ? Sauter sur l'occasion, faire le premier geste ? Peut être qu'il la repousserait en se rendant compte qu'il faisait une grave erreur ? Tant de questions qui inquiétaient la rouquine mais qui n'eurent pas à recevoir une les derniers centimètres qui séparaient les lèvres des deux sorciers, Albus plaqua sa bouche contre celle de Merry qui ne recula pas... Elle était juste surprise... Mais des milliers de sentiments s'emparèrent d'elle, des frissons et une chaleur naissante se mirent à parcourir son corps, partant de ce contact si proche qu'elle avait avec celui qu'elle appelait sa destinée, jusqu'à son cœur qui diffusa tout ce bonheur qu'elle ressentait à yeux fermés, Merry laissa l'ancien Auror poser sa main à l'arrière de sa tête, intensifiant le baiser qu'ils avaient tant désirés chacun de leur côté. La rouge et or fit elle aussi remonter ses mains, laissant ses doigts s'entremêler dans les mèches du beau brun qui l'embrassait avec sourire sincère alla courber les lèvres de la rouquine lorsque leur contact se rompit. S'éloignant très peu du visage du jeune homme face à elle, Merry rouvrit les yeux, plongeant de nouveau ses pupilles noisettes - pétillantes de joie et d'amour - dans le regard, heureux semblait-il, d'Albus. Les joues rosies par la timidité et le sentiment de ne plus savoir quoi faire, la Harper repassa tout simplement ses bras autour du cou de celui... qu'elle aimait ? Déposant un baiser sur sa joue, elle lui caressa la nuque, soupirant légèrement la joie qui avait de nouveau prit possession de son corps. Puis, d'humeur joueuse, la jeune femme ne pu s'empêcher de chuchoter quelques mots au creux de l'oreille du jeune Qui aurait cru qu'un ancien Auror se serait éprit d'une élève... Êtes-vous sûr que c'est légal monsieur ? Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Mer 13 Sep - 1949 Ce baiser enflammé, je ne veux pas qu'il s'arrête, je veux qu'il dure. Elle ne bouge pas pour l'instant, Merry ne réagit pas vraiment, serait-ce une erreur? Une pulsion non partagée? Mais pourtant, juste avant elle avait l'air aussi tourmenté que moi, fronçant les sourcils, fermant les yeux mais ce n'était peut être pas en rapport...Puis soudainement sa main remonte le long de mon dos donnant un grand frisson me traversant de toute part. Sa main rejoint mes cheveux et voilà qu'elle joue avec mes mèches. Je suis d'un heureux, une joie intérieure qui explose, qui me soulève et qui m'élève jusqu'à l'extase. Toute pression a disparu, il n'y a qu'elle, que nos lèvres scellées. Une vague de chaleur qui coule dans mes veines, mon coeur qui s'emporte et tellement de pensées qui arrivent, surchauffe de mon corps, je suis simplement content, c'est ce qu'il faut retenir. Je continue de l'embrasser fougueusement, les yeux toujours fermés. Lentement, chacun de son côté on s'éloigne, pas de beaucoup, je sens encore son souffle chaud sur ma peau. Un sourire sur son visage, un petit éclat de rire pour moi, c'est juste parfait, c'est un moment unique, merveilleux, que je n'oublierai pas. Nous ouvrons les yeux presque en même temps, nos pupilles sont dilatées je peux le ressentir ou le voir dans son cas, son regard noisette gorgé d'amour d'où le mien rejoint avec impatience, se précipitant pour ne jamais le quitter. Des joues rosies qui se suivent par ses bras autour de mon cou, je ne peux être plus heureux, je l'aime sincèrement, jolie rousse. Un bisous sur la joue qui me réchauffe, je bouillonne, quelques caresses sur la nuque et me voilà aux anges. Je ne bouge pas, je ne veux plus la rouge approche sa bouche de mon oreille et me murmure"Qui aurait cru qu'un ancien Auror se serait éprit d'une élève... Êtes-vous sûr que c'est légal monsieur ?"Je rigole et la regarde avec des yeux pétillants, je l'embrasse furtivement pour un joli début de réponse et surtout pour la faire taire avec souris tout en répondant"T'es majeure maintenant non? En tout cas chez les sorciers et puis quelle loi empêcherait deux jeunes gens follement amoureux de se rejoindre sous une belle nuit d'été avec une lune aussi belle?"Ma main glisse de son dos jusqu'à ses hanches, je fais de légers cercles et descends mon autre main sur ses omoplates et la plaque légèrement contre moi, pour ne laisser absolument rien entre nos deux corps, entre nos deux coeurs. Encore pris par une pulsion je rapproche de nouveau mes lèvres pour y déposer cette fois-ci le baiser le plus doux que je puisse faire, mes yeux se ferment mécaniquement et mon coeur suit. Mes mains font toujours de légères caresses pour finalement la blottir contre moi, pour qu'elle soit parfaitement protégée, dans mes recule lentement et à mon tour de lui glisser quelques mots à l'oreille, des mots doux , dans un léger soupire"Tout ce que je sais, c'est que je t'aime Merry." Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Jeu 14 Sep - 2209 Merry se sentait bien. Merveilleusement bien. Elle avait l'impression que ses sentiments étaient libérés, dévoilés au grand jour, ou plutôt, sous le ciel étoilé de la nuit. Elle était heureuse. Tellement heureuse de pouvoir vivre un moment pareil sans se soucier de ce qui allait se passer par la suite, sans se soucier du point de vue des gens, sans se soucier de ce qu'il se passait autour d'elle, autour d'eux. Ses yeux pétillants de joie regorgeaient de sentiments. Elle avait l'impression d'avoir des feux d'artifices dans les pupilles qui illuminaient son regard et son âme toute sourire s'était sculpté sur ses lèvres, à tel point qu'on aurait pu penser que jamais il ne pourrait disparaître de cet endroit où, juste un peu plus tôt, les lèvres qu'elles avaient tant désirées s'étaient posées sur les siennes. Les gestes de la jolie rousse avaient été guidés par ses sentiments, par ce qu'elle ressentait sur le moment et elle ne s'était pas sentit obligée de réfléchir aux conséquences de ses actes, bien qu'elle s'était posée un tas de questions. Mais peu importe finalement ? Qui pouvait la juger ? Qui pouvait juger ses choix et la vie qu'elle menait ? Personne. C'était sa vie à elle, elle était majeure dorénavant et pouvait très bien prendre des décisions sans que personne ne s'y oppose. Même si elle savait pertinemment que ses parents, même ses grands frères seraient outrés par un tel comportement, par un tel choix. Le reste de sa famille, qu'elle aimait tant aussi, n'approuverait peut être pas son choix non plus. Mais elle s'en contre-fichait. Elle était heureuse. Et personne ne pouvait se mettre en travers de son bonheur. Il n'en était plus question. Elle avait assez souffert comme ça, elle ne voulait plus que ça arrive...Soupirant contre la peau du jaune et noir, Merry exprimait sa joie et son soulagement. Elle avait ajouté à tout ce moment une légère touche d'humour qui avait fait rire l'ancien Auror, ce qui l'avait fait d'autant plus sourire. Le voir heureux lui faisait reculant, la Harper fixa de nouveau Albus, qui se pencha une fois de plus vers elle pour l'embrasser à peine quelques secondes. Légèrement frustrée, mais amusée, la rouquine lui caressa la nuque avec tendresse, laissant toujours ses sentiments prendre le dessus, tandis qu'il répondait à sa réplique. - T'es majeure maintenant non? En tout cas chez les sorciers et puis quelle loi empêcherait deux jeunes gens follement amoureux de se rejoindre sous une belle nuit d'été avec une lune aussi belle?Il n'avait pas tout à fait tord. Sa réponse plaisait à la jeune femme et la confortait dans son choix. Cette décision qu'elle avait prise changerait sans doute sa vie, mais elle s'en fichait toujours. Elle se sentait légère grâce à ce sentiment de bonheur qu'elle ressentait et c'était le principal. C'était qu'elle avait prit la bonne décision. Pour le moment tout du moins, bien qu'elle espérait que ce moment dure une ce moment était si magique. Deux personnes qui s'aimaient et se le montraient. Elle espérait pouvoir faire ça toute sa vie... Mais le futur ne lui importait pas pour l'instant. Seul le moment présent était important. Ce moment plein de tendresse, ou les gestes d'Albus se firent doux et réconfortant. La rouquine le laissa caresser ses hanches, passer ses mains sur ses omoplates et effleurer sa bouche. Blottie dans les bras de l'ancien Auror, plus rien n'a d'importance à cet instant là. Juste Tout ce que je sais, c'est que je t'aime Poufsouffle s'était légèrement reculée de la rouquine pour venir murmurer quelques mots à l'oreille de sa belle. Souriant et fermant les yeux au souffle de son soupire, au son de sa voix, au sens de ses mots, Merry le serra un peu plus fort contre elle, ne voulant pas le laisser partir loin d'elle. Elle ne rajouta que quelques mots supplémentaires, ne voulant pas gâcher ce moment qui lui importait Je t'aime aussi Merry enfouit à nouveau son visage dans le cou d'Albus, embrassant doucement sa peau avant de revenir poser ses lèvres contre les siennes, les yeux d'abord ouverts, pour l'admirer, puis fermés pour profiter un peu plus de l'instant.Te n'aime Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Mer 20 Sep - 1703 A mes derniers mots la jolie rousse ferme les yeux, esquisse un sourire et me serre fort contre elle. Je fais de même et enfouis ma tête dans son cou. "Je t'aime aussi Albus"De si jolis mots qui font exploser mon coeur, des sentiments chaleureux et grandioses se répartissent dans mon corps, mon cerveau en ébullition apprécie énormément cette phrase. Elle semble courte, sans importance mais pour moi elle est marquante et veut en dire beaucoup, plus que ce qu'elle veut dire, bien plus que ce que les gens peuvent penser ou dire. Je le sais, je le sens. A partir de maintenant c'est ma rousse. Merry enfouit de nouveau sa tête dans mon cou et y dépose un baiser tendre, comme une brise d'été qui me fait frissonner. Elle redresse ma tête et nous nous embrassons en douceur, s'admirant puis se détendant, yeux fermés, en ne pensant à rien d'autres que le moment présent. Je pose mes mains sur ses hanches et mordille sa lèvre inférieure en rigolant. Je me recule de quelques petits pas et lui tient la main, mon pouce caresse le dos de sa main avec tendresse."Je me sens plus détendu, pas toi?... Qu'en penses-tu mon attrapeuse de cœur au vif? Et si une chose est bien en or, c'est le tien."Je me penche vers elle pour y déposer un court mais doux baiser sur ses lèvres qui s'envole avec le vent. Je la regarde avec tendresse et lui fait un léger clin d'oeil."On ne s'est pas encore séparé que j'ai déjà envie de te revoir pour que le temps passe moins vite. J'espère simplement que ça ne sera pas trop long, j'ai envie de passer tout mon temps avec ta jolie frimousse, à contempler ton visage, fixer ton regard, ton sourire, entendre et sentir ton souffle chaud dans mon cou, compter tes tâches de rousseur pour connaître ton corps sur le bout des doigts..."D'un coup, je la tire vers moi et l'embrasse fougueusement sans plus aucune retenue, je me laisse prendre au jeu et prends les reines, je veux qu'elle suive mon rythme, de vie et cardiaque. Je veux qu'on ne forme plus qu'un, qu'on synchronise nos souffles pour que la symbiose soit parfaite, avec elle.Te n'aime aussi Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Jeu 21 Sep - 1508 Merry aurait voulu que cet instant dure à jamais, indéfiniment. Cet instant de découverte, de nouveautés, de passion. De nouvelles sensations traversaient le corps de la jolie rousse qui ressentaient des choses qui lui avaient été inconnues auparavant. Il lui avait fallut 17 années ainsi, à vivre des bons et des mauvais moments, avant d'enfin pouvoir ressentir ces émotions parfaites avec une personne unique. Cette personne unique qu'elle avait mit temps de temps à trouver mais qui était finalement face à elle, contre elle. Cette personne contre laquelle elle était blottit, qu'elle se pressait d'embrasser, déposant ses lèvres sur les siennes, revivant le premier contact proche et intime qu'ils avaient eut à chaque fois que sa bouche rencontrait la sienne à cœur de Merry était brûlant. Brûlant d'amour et de désir d'aimer autant, d'aimer une personne de cette manière, jusqu'à la fin de ses jours. Elle voulait aimer Albus pour une éternité, tout simplement, si seulement l'éternité existait pour l'amour. Ce dont elle ne doutait pas à ce moment, sachant, ressentant qu'ils iraient loin tous les deux. Très loin... et qu'ils ne seraient pas près de se lâcher. Qu'ils ne se quitteraient plus même, malgré la légère différence d'âge, malgré la distance qui les éloignait. Elle s'en fichait pas mal après tout, les sentiments, forts et profonds qu'elle éprouvait pour lui, la rattachait à lui. Quelque chose les liait. Quelque chose de fort, de puissant et d'intense. Un amour qu'elle n'avait jamais vécu et que son cœur n'avait jamais connu jusque de mots pourraient définir tout ce qu'il se passait à l'instant, ce que son coeur, son esprit et son corps avaient dévoiler ce soir-là. A vrai dire, elle ne savait pas si un mot ou même une liste de mots pourraient être la définition de l'amour qu'elle éprouvait pour l'ancien auror. Le mot qu'elle pourrait mettre sur ce lien qui les unissait, pour illustrer ce bonheur ressenti, n'existait pas à ses yeux. Et n'existerait sans doute jamais... Mais peu lui importait pour l'instant, elle aimait, on l'aimait, ils s'aimaient et c'était vraiment tout ce qu'il comptait à ce moment Je me sens plus détendu, pas toi?... Qu'en penses-tu mon attrapeuse de cœur au vif? Et si une chose est bien en or, c'est le mains d'Albus étaient venues frôler les hanches de sa belle et les deux amants avaient échangé un éclat de rire lorsque le jaune et noir s'était mit à mordiller la lèvre de la jeune femme. Leur regard accrochés l'un à l'autre, les deux tourtereaux s'étaient éloignés légèrement l'un de l'autre quand Albus avait fait quelques pas en arrière, gardant la main de Merry dans la sienne, la lui caressant du bout du pouce. Mais cette courte distance entre eux ne dura pas longtemps une fois que le Poufsouffle termina sa phrase. Ce dernier se pencha vers elle, déposant un baiser aussi léger qu'une plume sur les lèvres de la jolie rousse. Le regard qu'il lui lança ensuite fit frissonner Merry qui pouvait y voir tout l'amour qu'il éprouvait pour elle. Et son petit clin d’œil... ça la faisait On ne s'est pas encore séparé que j'ai déjà envie de te revoir pour que le temps passe moins vite. J'espère simplement que ça ne sera pas trop long, j'ai envie de passer tout mon temps avec ta jolie frimousse, à contempler ton visage, fixer ton regard, ton sourire, entendre et sentir ton souffle chaud dans mon cou, compter tes tâches de rousseur pour connaître ton corps sur le bout des doigts...Les joues de Merry se mirent à rosir et une chaleur vint illuminer son visage d'une joie immense. Mais la rougeur eut à peine le temps de bien colorer son visage qu'elle se trouva plaquée contre Albus qui l'avait attiré à elle, l'embrassant avec une fougue et une passion qu'elle ressentait réciproquement. Intensifiant le baiser, la Harper ferma les yeux, se collant d'autant plus à son bien-aimé pour que plus rien ne les sépare, même pas quelques petits millimètres d'air moment durant longuement, les deux fous d'amour se décollant l'un de l'autre quelques secondes à peine, juste le temps de reprendre leur souffle et de s'admirer, juste le temps d'observer le visage de l'autre, s'attardant sur des petits détails qui faisaient d'eux des personnes uniques et qui Merry pouvait bien le dire, faisaient leur charme. Ou tout du moins, c'était ce qu'elle pensait concernant Albus. C'était comme ça en tout cas, que la britannique avait apprit à connaître Albus, il avait toujours été ainsi et elle avait par la suite apprit à lui faire confiance, puis à l' lèvres soudées à celles de celui qu'elle aimait, Merry se recula une nouvelle fois, à peine, juste assez pour pouvoir caresser son visage avec tendresse et amour, pour pouvoir jouer avec les mèches de cheveux qui retombaient sur son front. Les yeux de la rouquine - qui étaient plongés dans le regard d'Albus - étaient pétillants. Toute la joie et l'amour qu'elle dégageait s'apercevait à travers son regard. Tout était parfait. Et elle ne voulait absolument pas briser cet instant. Elle ne voulait pas rentrer et voulait juste rester éternellement dans les bras de celui qu'elle pouvait appeler son homme à Je devrais partir... mais je n'en ai même pas une once d'envie... Je suis tellement bien dans tes bras. Très fort Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Jeu 28 Sep - 2132 Cet instant de pur bonheur était long, très long, intense et ça ne me déplaît pas, à aucun moment et au contraire. Je prends un plaisir monstre et je me sens parfaitement bien. Nos lèvres soudées les unes aux autres se détachent finalement pour nous laisser respirer un peu, ça serait bête de mourir maintenant...Elle parle, ses magnifiques lèvres s'animent et je me laisse aller, me transporte au rythme de ses mots"Je devrais partir... mais je n'en ai même pas une once d'envie... Je suis tellement bien dans tes bras."Je souris doucement et la laisse jouer avec mes cheveux, nos fronts collés, le souffle léger, les mots chuchotés"Moi non plus... Mais il le faut... Il est l'heure... Ma femme..."Un sourire se dessine sur mon visage, toujours nos regards pétillants gorgés d'amour qui ne se quittent pas."Dis toi que si tu pars maintenant, on pourra se voir bientôt, chez moi. Au pire tu sais quoi? Dès que t'es à Poudlard tu m'envoies une lettre, ça serait avec plaisir!"Je caresse doucement sa joue avec mon pouce et le creu de son dos du bout des doigts. Je laisse ma main courir sur elle pour rejoindre sa nuque dans une tendresse infinie..."Je t'aime toi tu sais?"Doucement je me décolle d'elle pour lui tenir la main, je l'entraîne avec moi pour marcher jusqu'au point où je la laisserai s'en aller, sans moi...Je le lâche pas des yeux et mon coeur danse la samba, c'est la fête en moi et je sais que je pourrai dormir le coeur léger, l'esprit évasif, rejoignant son corps durant un doux rêve... Mais je sais que bientôt, ce rêve où mon corps se recolle à elle, la rejoint et l'embrasse tendrement, ne sera plus un rêve... Mon rêve sera réalité car je vais la revoir, très bientôt pour de nouveau exprimer nos corps, montrer notre amour physiquement par des échanges fougueux, passionnés sans aucun point négatif, la perfection à l'état pur, comme elle. Fort fort fort Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Dim 1 Oct - 1932 Tout était parfait. La soirée, la personne avec qui elle était, la manière dont se déroulait les choses et les événements. C'était génial, magique. Les yeux de Merry pétillaient. Ils pétillaient grâce à tellement de choses. Cette soirée, sa joie, la chaleur qui traversait son corps, son amour pour Albus... et l'amour qu'il éprouvait pour elle. Les sentiments éprouvés, les émotions ressenties ce soir-là étaient maîtres de la soirée et de leur bonheur actuel. Ils guidaient leurs mouvement, leurs paroles, les choix qu'ils faisaient inconsciemment en réagissant à l'autre et à ses mouvements, ses mots. Merry se sentait si bien. Mais elle n'allait pas tarder à devoir s'en aller... son frère se demanderait où elle se trouvait, pourquoi il ne l'avait pas vu rentrer elle Moi non plus... Mais il le faut... Il est l'heure... Ma femme...Les deux derniers mots prononcés par Albus firent frissonner Merry... C'était tellement merveilleux à entendre. Des étincelles firent presque leur apparition dans le regard de la rouquine et une chaleur immense s'installa de nouveau dans son corps, dans son cœur, qui appartenait dorénavant à quelqu'un, à une personne de Dis toi que si tu pars maintenant, on pourra se voir bientôt, chez moi. Au pire tu sais quoi? Dès que t'es à Poudlard tu m'envoies une lettre, ça serait avec plaisir!Merry aquiesça tout en fermant doucement les yeux, avant de les rouvrir pour plonger une fois de plus son regard dans celui de la personne qu'elle aimait du plus profond de son être et de son âme. Toutes les cellules de son corps étaient en euphorie face à cet amour naissant et grandissant et réchauffait la jolie rousse qui était loin d'avoir froid, au Je t'aime toi tu sais?Le merveilleux sourire heureux de la Harper regagna ses lèvres, tandis qu'Albus prononçaient ses mots et faisait, avant cela, remonter sa main vers sa nuque, qui avait quitté le creux de son dos, caressant de l'autre main, du bout du pouce, la joue de sa sans briser ce moment intime, ce silence, l'ancien auror prit la main de la rouquine pour se remettre à marcher. Merry, quant à elle, finit par presser la main du jaune et noir, à l'instant où elle allait lui Oui je le sais, je l'ai bien compris je pense... Et tes sentiments sont tout aussi réciproques...La jolie rousse hésita un instant avant de continuer, prenant une inspiration avant de chuchoter dans le Je t'aime aussi tu sais...Les pas du - on pouvait le dire - tout nouveau couple qui s'était formé, se firent dans le silence pour le reste du chemin. De longues minutes où de petites attentions affectives apparurent, un baiser sur la joue, sur le coin des lèvres, une caresse tendre et chaleureuse, des mains qui se serrent, des doigts qui s'entremêlent à ceux de celui ou celle qu'on aime. Une fin de chemin qui se fit avec amour et affection, permettant aux deux jeunes gens de garder le sourire et les paillettes qu'ils avaient dans les bien vite le sourire de Merry disparu quand elle aperçu le château au loin. Elle allait devoir rentrer et ce n'était pas ce qu'il lui faisait le plus plaisir. D'autant plus qu'elle allait devoir se frayer un chemin en cachette si elle ne voulait pas se faire attraper par ceux qui tournaient dans les couloirs cette nuit-là. Le château était encore relativement loin, mais la rouquine devait laisser Albus là, qui n'avait plus le droit de l'accompagner à partir de maintenant. Une moue sur le visage, elle se tourna vers lui, plongeant son regard aimant dans le sien, avant de venir se coller à lui, l'entourant de ses petits bras qui se serrèrent contre lui, pour un câlin d'au revoir. Puis un doux baiser sur les lèvres, de quelques secondes à peine, un sourire, des mains qui se quittent, et un " merci " qu'elle chuchote dans la nuit avant de s'éloigner de lui, lui adressant un dernier regard plein d'amour.FIN DU RP POUR MOI Invité Re Explore le chemin de traverseInvité, le Mar 3 Oct - 2154 Une légère pression sur ma main, je me tourne vers la jolie rousse et la voilà qu'elle prend la parole. J'écoute ses mots et ne quitte pas ses lèvres des yeux. Ce moment est un délice et je m'en délecte complètement. Mon coeur a fini son petit caprice et est revenu à la normal, comme si tout ça était normal ou en tout cas que je le méritais. Qu'est-ce que je dis, bien sûr que je le mérite! Pourquoi j'aurais pas le droit à mon bonheur, mon petit plaisir personnel."Oui je le sais, je l'ai bien compris je pense... Et tes sentiments sont tout aussi réciproques..."Un grand sourire et mon visage s'illumine autant qu'il rougit, ses mots me vont droit au coeur, c'est une magnifique soirée! Sans crier garde un "je t'aime aussi tu sais" se perdit dans le noir, entre les bruits de la nuit et ceux de nos pas... Je caresse lentement le dos de sa main et embrasse tendrement sa joue. Maintenant c'est le silence le plus total, là, c'est simplement des attentions qui dirigent la marche, qui rendent le moment encore plus magique, sans concertation, juste en sachant ce que l'autre veut en télépathie. Sourire et yeux pétillants, la nuit parfaite il est temps.... PLOP... Fin de la soirée, château en vue!! L'heure de rentrer... Des regards amoureux, une étreinte gorgée de sentiments et un baiser passionné... Pour finir sur des bras qui ne veulent pas se quitter et des lèvres qui chuchotent quelques mots, perdus dans les ténèbres de la nuit... Je suis resté tellement longtemps comme ça, droit comem un piquet, attendant qu'elle rentre dans le château puis quelques temps, le temps que j'estime qu'elle soit dans son petit lit rouge... J'aimerais la rejoindre pour que la nuit soit incroyable... Pfiou, hâte de la revoir, je suis impatient...Je rentre chez moi seul et part vite dans mon lit, une grande maison déserte, j'attends sa nouvelle venue. Je vais aller dormir moi mais oh.... Qu'est-ce que c'est que ça? Une chouette et une lettre? Serait-ce la demoiselle en détresse?...[Fin du RP] Sariel FawkesSerpentard Re Explore le chemin de traverseSariel Fawkes, le Mar 17 Oct - 1012 UniqueTe souviens-tu, exactement, du commencement ?Etait-ce une main tendue dans la nuit ? Ou au contraire, une lumière qui t'attendait, que tu as suivi ?Je ne me souviens plus exactement des circonstances. Mais le sac de mots était déposé là, après cette nuit où je n'avais pas réussi à m'endormir. Cadeau parmi les ombres et je savais que je n'avais pas le choix. Il fallait que je le fasse. J'étais, au beau milieu d'un bon nombre d'ombres, choisie pour agir. Aider à ma passé l'essentiel de cette journée à me demander si c'était la solution. A la lumière du jour, mes doutes semblaient bien trop importants. Croiser des visages, des sourires, entendre ces voix embrouillées dans la rue me forçait à prendre part à la réalité. Je n'avais pas d'échappatoire. Je devais faire face. Possibilités... je ne pouvais oublierCe qu'on attendait de suivi la linéarité singulière des rues que je connaissais pas coeur. J'ai foncé, je crois, au beau milieu de cette foule qui n'existait plus ce soir-là. Au nom de quoi ?A leur nom, désignés par ce cri commun, cet ne comprennent plus qu'il n'y a plus d'abîme. Qu'elle ne guette que ceux qui n'y prennent pas n'y a plus que cet espoir dans la cachée sur le coeur. Ma cape vissée sur mes cheveux de lumière. Je ne pouvais me cacher, mais on ne me reconnaitrait pas ce soir. Personne à l'horizon. Il fallait le faire. Du bout de la baguette, la magie fusa et les exemplaires s'alignèrent contre la paroi brute. Désormais gravée de leur passage. Ils ne pourraient oublier ce petit matin, vous saurez, vous entendrez ce hurlement ont tous oublié, qu'ils étaient toujours là. Quelque ne se feront plus avoir par le cri du sourire satisfait devant le tableau d'Impardonnables. Et sans confession,dans un rire muet, transplaner vers le repos et l'attente d'une nouvelle occasion. L'ImpardonnableLe monde change. Dans les arbres le vent souffle plus intensément, comme sur les villes magiques qui murmurent l'air de la Liberté. Il est un Secret qui perdure depuis bien trop longtemps. Qui occulte tout ce que notre monde pourrait avoir sans se restreindre derrière de banales formalités. Il est temps d'ouvrir les yeux, de regarder en face les incohérences de la Justice, pour les rayer jusque dans les fondements des inepties qui la compose. Une nouvelle aube se profile, sans les chaines de la Restriction, et ce jour-là la seule question qui se posera est, quel est votre choix ? Appel des TénèbresMurmures de l'Ombre Il y a des mots qui se déforment dans le creux d'une oreille, courant d'une bouche à l'autre et forcés parfois d'épouser la forme des pensées étriquées de ceux qui ne les comprennent pas. Nos idées ne sont plus celles de nos prédécesseurs, nous les avons modelées, pour les faire correspondre au besoin de notre temps. Ce qui était vrai hier ne l'est plus aujourd'hui. Nous nous sommes adaptés, devenant une voix qui se bat pour la communauté magique et non forcément contre elle. Le temps est venu que les mauvaises langues se taisent, que la vérité soit de nouveau établie, celle dont le ministère nous prive pour mieux s'enraciner dans sa bêtise. Nos idées ne sont pas le Chaos mais bien l'Ordre pour tous, une liberté absolue, sans chaînes nous privant de nos droits les plus fondamentaux. À commencer par le Secret Magique. Nous en voulons l'abolition. Réfléchissez, pourquoi aurions-nous à nous terrer dans l'ombre comme des indésirables alors que les moldus ne représentent désormais aucune menace pour nous ? Alors qu'il serait possible de cohabiter sans que l'on ait à se cacher d'eux ? Cette entrave à notre liberté ne peut plus durer, nous n'avons plus à nous soumettre à des idéaux d'un temps passé, ancrés dans les peurs d'un ministère n'ayant plus lieu d' ministère justement, qui n'a de cesse de nous prouver son incompétence au travers de nombreuses erreurs et approximations. Que dire de l'inefficacité des Aurors quand l'école a été attaquée aussi librement qu'un moulin au milieu d'un champ ? Ou encore au travers de ses lois les plus absurdes et de sa hiérarchie trop verticale, dominés par un ministre incompétent que peu de vous apprécient ?Il est venu le temps de s'unir, de se défaire de ce système que l'on nous impose. Et ce par tous les moyens possible. Le pacifisme ayant depuis longtemps prouvé qu'il ne mènerait nul part, se perdant en discours ennuyeux ou en promesses illusoires. Il est grand temps d'agir, et non plus du que notre liberté ne doit pas être un choix, mais un déchirure du monde1/ La vie moldue a-t-elle la même valeur que la vie sorcière ? Accordes-tu de l'importance au statut sanguin de tes proches ?La seule chose qui puisse différencier l’importance que nous accordons à un être humain est liée à ses actions, sa personnalité, bien plus que des notions comme le sang ou les pouvoirs magiques. En vérité, nous jugeons que les moldus et sorciers, tous sangs confondus, sont égaux. Technologie et magie ne sont que des bifurcations dans l’espèce humaine ; aucune n’est supérieure à l’autre. C’est précisément pourquoi le contraste entre le cocon dont jouissent les moldus, et l’asservissement auquel le Secret nous soumet, est intolérable. 2/ Que penses-tu de la séparation des mondes magique et moldu ? Est-ce l'option que tu juges la plus viable sur le long-terme pour les deux communautés ?La séparation mise en place entre les mondes magique et moldu est, au mieux inefficace, au pire dangereuse. Nous pensons que la méconnaissance mutuelle développe des deux côtés haine, mépris, et peur. Une véritable aberration, on est pas du bétail à séparer chacun dans son enclos ! Pour cohabiter, il faut dialoguer, et non se laisser enraciner dans une ségrégation pluriséculaire. Les mariages "mixtes" sorcier/moldu prouvent que cette acceptation et ce vivre-ensemble sont possibles. » Oui, mettre fin à cette séparation risque d’avoir un coût humain, mais c’est le coût de la Quel est l'équivalent moldu de la lutte contre le secret magique ? Nous connaissons trop peu l’univers moldu pour tirer des conclusions hâtives. Cependant, nous trouvons des parallèles possibles entre les idéaux de l’Ordre noire et des mouvements comme la lutte pour la mixité sociale ou la transparence politique. 4/ Qui détient le monopole de la violence légitime ? Es-tu satisfait de cette répartition des pouvoirs ?Nous ne sommes pas totalement d’accord sur la question, principalement parce que cela dépend du référentiel. Dans la communauté sorcière britannique, le Ministère détient la violence légitime. En effet, il est le seul à pouvoir user de violence directement ou par délégation aux Aurors sans avoir à subir de préjudice. Nous trouvons qu’il lui arrive d’abuser de cette impunité, de faillir à sa mission de protection. Si l’on prend pour repère les communautés moldues et sorcières, certains d’entre nous sont tentés de songer que ce monopole est détenu par les moldus. Ce sentiment est surtout lié à l’asymétrie des jugements en cas de conflit entre moldus et manière générale, cette répartition des pouvoirs ne nous satisfait pas vraiment. Le gouvernement devrait avoir moins de pouvoir, se fier à son peuple. Ne sommes-nous pas prêts à nous assumer en tant qu’Etat-nation ? »5/ Si le Ministère était un objet, lequel serait-il ? Le bureau des Aurors serait-il fait de la même matière ? Si non, laquelle ? Si oui, d'autres différences seraient-elles à noter ?Clairement, ici on n’est pas deux à voir les choses de la même façon. Mais c’est normal hein, chaque cerveau fonctionne différemment, c’est ce qui fait la beauté de l’être humain. Soyons synthétiques, ne choisissons que deux métaphores ! Si le Ministère était un bateau en train de sombrer, ses Aurors en seraient la bouée défectueuse. Une autre image serait celle du Ministère comme une porte, une entrave, un non-lien, derrière laquelle le secret peut disparaître et les communautés se rejoindre. A une ouverture près…6/ Si les deux principaux groupuscules Ordre du Phénix et Ordre Noir étaient des animaux, que seraient-il ? Pourquoi ?Nous avons des avis mitigés sur la la plupart, nous voyons l’Ordre du Phénix comme un chien. Ils sont pour nous, un mélange de bons petits toutous qui peuvent montrer les crocs sans logique. Un animal donc en apparence de confiance, fiable et domestiqué mais qui peut très bien révéler un côté violent et dangereux. Cependant, d’autres voient cet Ordre comme un beau Paon, qui agite ses plumes pour paraître grand, mais qui n'a pas plus d'utilité que cela au fond, hormis faire mal quand on se fait pincer. Mais nous pouvons aussi voir l’Ordre du Phénix comme un moustique, un animal en voie d’extinction ou même un cheval qui se laisse dompter facilement. En somme, un animal qui ne serait pas exceptionnellement dangereux. L’Ordre Noir, pour nous, s’apparente plus à une meute de loup ou à un serpent. Pour les premiers, ils chassent en meute et ont un Alpha pour pouvoir diriger cette vraie communauté. Pour les seconds, c’est un Serpent, patient et qui attend toujours le bon moment pour agir et qui instinctivement suscite la crainte. Dans l’ensemble, L’Ordre Noir ressemble à un prédateur tel que le dragon, l’ours ou même le crocodile. 7/ Quelle émotion t'inspirent les Mangemorts et pourquoi ?Nous éprouvons principalement de la crainte mais surtout beaucoup d’admiration, de fascination envers cet Ordre. Pour certains, nous y voyons une source d’inspiration, de justice, de savoir, de modèle qui nous pousse à nous surpasser. Leur force d’oser se lever face au pouvoir en place afin de défendre la liberté et lutter contre le Secret Magique, accroît notre Si tu portais un masque, que ferais-tu de différent par rapport aux Mangemorts actuels ? Au Seigneur des Ténèbres ? Pour la plupart, nous n’agirons pas forcément différemment. Mais si nous devions réellement innover, nous pensons qu’attaquer de grandes personnalités moldues ou accentuer le côté discutions afin de faire mieux comprendre l’idéologie serait un plus. De plus, ce serait un bon point de contrôler les écoles de Magie afin de créer une nouvelle génération plus impliquée dans les débats politiques et soutenant notre cause. 9/ Que représente la technologie moldue pour toi ? Penses-tu qu'elle soit l'équivalent de la Magie ? Pour nous, la technologie moldue est l’évolution même de leur communauté. Cependant, elle n’est absolument pas l’équivalent de la magie. Pour certains, nous la voyons comme une faiblesse, comme un substitut à notre magie en beaucoup moins bien. D’autres, pensent qu’elle pourrait être utile, que c’est avantage dont on pourrait tirer profit malgré le fait que la magie a un peu de mal à se mélanger avec les objets technologiques moldus. Cependant, nous y voyons aussi une certaine complémentarité puisque souvent la magie permet de faire des actions que la technologie ne permet pas et inversement. 10/ Si tu pouvais choisir le ministre de la magie, qui voudrais-tu ?Nous voulons du changement, tout simplement. Quelqu'un qui soit là pour briser les codes malsains établis et ne pas plier sous le poids de ses responsabilités. Nous voulons voir cette barrière entre les moldus et les sorciers abolis, que le secret de notre existance soit enrayé pour toujours. Un seul sorcier au pouvoir pourrait-il vraiment y parvenir seul ? Nous voulons que la communauté soit justement représentée. Luttant fièrement contre le despotisme actuel, nous voulons voir monter au pouvoir un gouvernement apte à prendre les décisions qui s'imposent. 11/ Penses-tu qu'il faudrait réformer l'éducation magique ? Si oui comment et si non, pourquoi ?Nous savons tous que l'éducation est un tremplin commun c'est à ce moment que nous acquérons nos bases et apprenons à nous considérer comme de véritables citoyens magiques. Poudlard devrait être indépendant du Ministère - et pour cause, on nous enferme. Nous suivons des cours d'Histoire et de théorie sans jamais avoir le droit à des bribes d'informations concrètes et d'actualités. La faute aux professeurs ? Nous pensons que non. Mais nous contraindre à ignorer ne fait que renforcer notre colère. Les jeunes aussi ont le droit de savoir et de comprendre ce qui se passe réellement autour de nous. 12/ Que dirais-tu pour convaincre la communauté magique que la cause Mangemoresque est juste ?Nous voudrions leur offrir la liberté dont ils ont été trop longtemps privés. Braves gens, voyez comme nous sommes prisonniers de leurs décrets néfastes ne visant qu'à les protéger, eux ! Cela fait des siècles que nos dirigeants se protègent par peur de se mouiller. Nous voulons simplement vous offrir un monde où vous pourrez sortir de chez vous et exercer la magie sans crainte de vous voir sanctionné ou pire, rejeté. Vous êtes des sorciers. Cela fait partis de votre identité - nous voulons simplement que cela soit reconnu de tous. A tous ceux qui critiquent nos méthodes parfois extrêmes sachez que nous n'avons pas eu le choix. Il a fallut que nous nous défendions, que nous vous défendions, pour que nos voix soient entendues. 13/ En tant que partisan de l’Ordre des Ténèbres/des Mangemorts, as-tu un message à faire passer à la communauté magique ?Vivez. Apprenons ensemble des erreurs du passé. Battons nous ensemble pour ce que nous jugeons juste. Parce que tout ce que nous voulons offrir à notre société, c'est la liberté de vivre en étant soi-même. Éclats d'OmbreLes messagers de la nuit,Filent dans les ombres,Ils sont le phare qui luit,Et éclaire la sonnent les heures,Est venue celle de la délivranceChantent chantent les pleurs,Entend les cris dans les silences. Ils veulent abolir le Secret,Pour le monde magique,Un plus grand bien à créer,Une communauté sonnent les minutes,Est venue celle du partage,Volent volent les volutes,Des sorciers sans Crépuscule porte sa lame,Et se dresse comme l'Ordre,Dans l'Obscurité il est flamme,Ou se blesse le sonnent les secondes,Est venue celle du Temps,Danse danse donc ce monde,A ce parfum de dément. L'Ombre étend son emprise,A son souffle frissonnant,Rejoignez cette douce brise,Devenez leurs journaux de propagande et celui de la au nom du peuple est donné à tout le monde, mais connaître réellement ses attentes, ce n'est pas le cas. Nos ennemis ont cru bon de publier des ramassis de propagandes pour vous rassurer, alors que leur but premier était de veiller à ce que les chaînes attachant votre liberté soient encore bien en place ! Il est grand temps que votre esprit s'ouvre sur un monde meilleur où nous n'avons plus besoin de nous cacher. Laissons la Magie s'exprimer. ©MM87 Dernière édition par Aya Lennox le Lun 13 Nov - 858, édité 1 fois Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaëlle Panyella, le Sam 11 Nov - 1219 Pv AliceLe tourbillon de feuilles automnales l'emporte dans sa jolie danse avec une douceur qui détone contrairement à ce à quoi elle est habituéeDu moins, ce qu'elle pense. Elle ne peut pas vérifier. Comme durant un bon nombre de moment de sa vie, mais ça fait entièrement partie de celle-ci à présentUne routine grise, terne, noire. Au final le répéter dans sa tête ne sert à rien, le résultat est le même Pas la peine de tenter une quelconque tentative de psychologie inversée, c'est un acte perdu, peu importe le sens, il faut une présence, c'est toutSinon, rien de rien ne s'accorde avec son pas, ses envies. Si les rêves veulent prendre des allures de réalité, il faut que la gamine soit accompagnée C'est toujours une petite fille à qui il faut tenir la main, jamais Mary ne pourrait traverser un passage pour piétons seule Quelqu'un doit être à ses côtés, serrer sa poigne de bébé et lui assurer que c'est bien vert, qu'aucune des méchantes voitures viendra l'écraserPendant quelques minutes, elle tourne, en même temps, les bras levés, paupières closes Mais le vent finit par s'arrêter, la laissant pantelante, sur le sol elle finit par s'asseoir en frottant des yeux rouges de frustrationIl n'y a pas à dire, elle est de nouveau laissée à elle même, vouée à se débrouiller seule c'est trop tôt mais je suis làC'est un peu comme un lion né en captivité, une fois remis à l'état sauvage, faut un temps d'adaptation, si un jour il arrive à s'adapterAlors qu'elle était prédestinée à être prédatrice, elle finit proie des autres félins affamés en manque d'adrénaline Ils ne veulent pas des gazelles, préférant se confronter à l'une des leurs Jouer au chat et à la souris, c'est une chose, être tous les jours le petit rongeur, c'est une autre~Haussement d'épaules L'abandon, c'est lui qui a pris l'apparence d'une habitude Se mêlant étonnement bien avec la belle résignation Pourtant elle s'efforce tous les jours à lever les bras De plus en plus hautUn effort dans ce tas de décombres Un jour son esprit finira catacombes Marche après marche elle se relève Continue sa route sur le chemin de traverseParfois elle courre, de peur que quelqu'un trouve ça drôle de jouer Avec l'entassement d'ossements qu'est son cerveauElle en a rencontré, des êtres qui voulaient s'amuser, et plus le temps passe, plus elle ne veut plus rester seule Allez simplement à la plaine de jeu,S'amuser sur une balançoireTourner à en perdre la tête, prendre de l'élan, s'élancer, yeux clos, quitter le morceau de bois, arrêter de s'accrocher Retomber sur l'herbe qui sert de repos, terminer en s'écrasant, mais garder le regard rieur, pétillant Avoir cette envie de recommencer à l'infini Elle a perdu ça aussi la petite MaryMais enfoncées dans les poches de sa veste, ses pieds se font de plus en plus traînants Il lui arrive de temps en temps ~ de plus en plus souvent ~ de se laisser avoir par des pulsions qu'elle tente de refouler Simplement oublier, sous le coup d'une bouteille, ou deux, plusieurs fois que le jeu la tente, qu'elle a envie de recommencer Suffit, c'est simple, ouvrir le sac à dos qu'elle transporte, prendre la flasque piquée chez ses autres grands-parentsCeux qu'elle n'aime pas De prendre, une ou deux gorgée, mine renfrognée ce n'est pas ce que sont censées faire les petites filles- J'm'en fiche Stella Juste, tais toiEn boucle Elle répète Le liquide s'écoule dans sa gorge C'est pas facile à avaler Elle recrache Mais recommence Jusqu'à arriver à engloutir ne serait-ce qu'une seule gorgée Puis d'autresRecommencer Maintenant qu'elle veut que ça tourne ça ne le fait pas N'importe quoiNouveau capriceElle frappe dans le murC'est un peu comme une balle en mousse Voilà ce qu'ose lui dire trois Un mensonge, encore et toujours qu'elle croit Un élan de douleur la traverse Simple flash d'une seconde qui avait fait tout revenir Comme quand les aurores se sont affichées Il fallait simplement se péter le crâne Suffit de recommencer Pour réussir Une main ça ne suffit pas Seul un liquide gris glisse le long de son bras Alice GrantSerdaigle Re Explore le chemin de traverseAlice Grant, le Mer 6 Déc - 2252 Désolée pour le retard, lapin tout ça xLes feuilles sont belles mais mortesTransformant les rues en un immense cimetière,Et tout le monde s'en foutMais pas toi parce que les pas craquent, t'as pas l'habitudeTu préfères qu'ils soient silencieux pour que personne ne remarqueA quel point ils sont maladroits. Tant les laisses te porter sur les pavés, en laissant derrière des empreintes d'hésitationCapuche sur les épaules, t'essayes de pas la rabattre sur tes traits comme toujoursToujours c'est un type qui donne une impression de déjà-vuPour éviter les regards, à croiser ou à poserTrop lourds de mesure de jugements en un instantMais c'est pas si difficile en à l'aise, tu as l'impression de ré-apprendre à marcherAprès n'avoir fait que tomberTu reprends t'es là déjà?Ah oui, pour rien.Rien c'est quelqu'un qui n'est jamais venu.L'air frais te lave la têteAu bout de quelques mètres tu t'autorises un pas de danse, puis une girouetteLe type derrière change de trottoirHausse les épaules, tire la langue et part en courantComme la gamine que t'as été Comme la gamine que tu esTe voilà sur le chemin de puis tu la avec qui tu partages un secret de train fou et de t'arrêtes pour un instant de doute, hésitanteAvant de repartir encore plus viteDans sa direction tout en te demandant ce que tu fous et puis tu te rappelles que les choses tu les fais rarement rationnellementArrêtes de fuir ceux qui ont connu ta démenceAffronte leurs yeux même si tu as peur de ton vieux refletLe fantôme de ta double-face ne va pas en sortir pour te saisir la tête comme a besoin d'aide parce qu'elle est encore plus folle que le sais tu ne peux pas simplementIgnorer le liquide dans la bouteille et le sang sur son poses ta main toujours eu l'impression de mieux atteindre les gens en les touchant Attention, tu vas te blesser...Pause,Tentative de captage de Tu vois pas que tu saignes? Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaëlle Panyella, le Sam 23 Déc - 1309 musique à bouclerSes yeux ébahis le regarde glisser Il est assez joli Un peu argenté Des fois elle se demande ce que ça donnerait Si toute entière elle baignait Dans une marre de cette drôle de matièreUn peu poisseuse sur les bord Une piscine de sangD'où elle ressortirait métamorphosée Peinturée de toute part Un peu joli, une armure de ferMétallisée, une Mary guerrière Prête à tendre son épée droit devant, le coeur battant Pour combattre le monde Les démons et les ombres Enfin se dévoiler, montrer les crocs Forger des barrières impénétrables Si seulement elle pouvait ne plus sentir Les épines s'enfoncer dans sa peau Empoisonner sa tête Simplement grâce à une couverture Tout serait plus rassurantMais là il n'y a qu'une trace Qui s'écoule doucementElle ne cherche pas à l'arrêter Peut-être qu'à elle seule elle pourra la recouvrir Avec un peu de temps et de volonté Tout peut arriver C'est une promesse débile elle le sait L'étau se resserre sur sa poitrine blessée Suffirait de s'échapper Ou de se couvrir de poussière Disparaître dans la masse Elle se voudrait apathique Insensible,Ne plus rien ressentir Bloc de glacePour toutes les peines qui la tuent à petit feu Drôle d'ironie Quand certains cherchent à raviver des flammes Mais elle se met à comprendreCeux qui veulent oublier Se cacher, censurer leurs propres penséesPour ne plus ressentir Ces pointes destructrices Sentiment drôle de nom quand même Il y a sang, dedans Puis centime aussi On en revient à l'argentC'est dommage pour la fin ce iment de beaux mots finissent comme ça pourtantComme scintillement Une étoile morte peut-elle briller ?Il y a cette peauQui rejoint la sienne Un geste calme et apaisantElle ne cherche pas au départPensant que c'est une chimèreUn énième coup du sort Qui veut encore jouerComme si il n'en avait pas fait assezPuis cette voixCelle d'une folle d'une illusion Elle n'a jamais su si elle était réelle ou non Comment pourrait-elle ?Un trainUne attaqueDes débris et du sang qui claque Il y a tant de choses qui ont fait Qu'on ne pouvait pouvait pas savoirLes idées sont toutes emmêlées qui es-tu ?Un ange gardien Ou simplement un autre aiglon mort Elle ne peut être qu'oiseauPuis une questionQu'est-ce qu'elle raconte ?Comment savoirCe que cache le liquide étoilé ?Voilà qu'elle pose à nouveau ça mainSur la plaieNon, il doit y avoir une erreur Je ne sais pas, c'est sans doutes de la peintureÀ moins que Et si l'apparition avait raison ?Pourquoi mentirait-elleMais il y a bien une chose qui est sûre Le sang c'est rougeOu brunOu foncé mais ne parlons pas trop de couleurAlors que làCe qui glisse c'est grisDu coup pourquoi essaierait-elle De l'amadouer Sentiment non pas lui *impressiondetrahisonFaut pas Si ça se ditC'est moi qui me fait encore avoirpar le voile noir Est-ce que tu mens ?grande accusationMais rien que par sa présenceElle ne sait plus distinguersi déjà son apparition est mensonge qu'en est-il du reste ? Alice GrantSerdaigle Re Explore le chemin de traverseAlice Grant, le Sam 13 Jan - 2144 Trigger warning - abus d'alcool dans le 1er paragrapheTu te souviens de la première foisOù tu t'es réveillée avec les traces de vinaigre sur les lèvresSans comprendre tes doigts passèrent dessus-Gorge t'étais levée, ton pieds heurta quelque chose de froid-Bruit de ramassant la bouteille vide c'est là que tu as comprisQuel était ton seul moyen pour t'échapperPour débarrasser ton esprit d'elleIl suffisait de la ne seras plus jamais lucide et heureuse en même tempsIl te fallait jongler entre les deuxJusqu'à-ce qu'ils finissent par sa main tu retrouves tes démonsJe ne sais pas, c'est sans doutes de la peintureEt dans ses yeux la folieSalut toiOn danse?Le sang c'est rougeTu n'es plus aussi faible qu'avant qui glisse c'est grisTu as appris à soutenir ces regards emmêlésA écouter ces mots que tu mens ?Ce n'est pas ta première partie contre la reine de cœurTu commences à comprendreLes règles du es-tu capable de gagner?Elle a un bourreauElle a une couronneElle a une arméeElle a le tempsEt toi tu asJe ne mens jamais aux aveugles. L' une baguetteQue tu pointes sur son brasEpiskeyEnfin ce n'est pas ça qui est blessé AliceAu moins c'est ensuite le murMulticorforsPour peindre les roses en te souviens maintenant?Les fleurs de la Maudite Grosse Tête... Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Explore le chemin de traverseGaëlle Panyella, le Sam 20 Jan - 2258 Elle a le coeur déchiré en mille morceaux éparpillés Elle a le sang qui ne veut plus circuler il est en quelque sorte séché Elle a la vie qui semble partiepourtant elle est toujours làElle a cette sensation de fin alors que cet " il était une fois "raisonne toujours dans sa têtecomme si c'était le début Des horreurs Une maison hantée par des chats des chiens des fous à lierEt dans tout ce bordel c'est une statue de métal une simple armure poussiéreuse Là pour la figuration Une figure vieille, innocenteQui tente à tout venant de donner des conseils Mais elle ne connait plus la vie lui dit-onAlors elle saigne, pour les temps oubliés Elle veut de nouveau sentir un corps chaud proche d'elle respirer Mais rien ne vient, il n'y a plus que du néant Une simple carcasse de géante mortePlus qu'un trou noir béantTout lui échappeUn monde lui parait innacessible et de cet ordre maléfique elle ne tient plus que hainemalgré les derniers morceaux d'amourauxquels elle s'accroche coûte que coûtemais ça devient compliqué ;tout se brisel'armure se fend la petite vie qui était dedans se retrouve nue face à toutface à ses yeux et les mots s’emmêlent quelle bêtise !Je ne mens jamais aux aveuglesBrume de l'automne autourElle doit se résoudre Cette histoire de métal C'est encore une illusionPour se protégerEt AliceSacrée Alice Elle n'a jamais eu l'air aussi réelle Qu'en cet instantOù d'une baguette elle soigne Les maux de tous les tempsUn autre sort, qui ne tache que de gris le mur d'en face, encore un échec RienRienRienRienElle sort de sa coquille rouillée mais ça ne fonctionne pasDe quelle autre couche doit-elle se débarrasser cette fois ?Non pas de celle des souvenirs, ça elle en a besoinD'une voix qui se veut forte mais résulte faibleElle murmure Le train ! Le lapinOui, je crois que je m'en souviens Peindre en rouge est une idéeMais encore faut-il savoir le voir et ça c'est plus compliquéDe ses doigts elle touche la surface rugueuse Cherche sur les taches une nuanceComment on fait pour enleverla poussière de sept années sur des yeux habitués à ne plus voir ? Regard amouraché sur le déni de l'armure Peut-être que c'est plus simple au final d'être derrière le côté sombre du mur où il n'y a rien à chercher Alice GrantSerdaigle Re Explore le chemin de traverseAlice Grant, le Mer 14 Fév - 1644 Au fond de ses yeux la lumière reste raté l'interrupteur. Et la Reine continue de poings se serrent, tu ne peux pas encore la laisser gagnerAlors que ce n'est même pas de toi dont il s'agitCette fois tu es presque forteCe sera suffisantIl faudra train ! Le lapinOui, je crois que je m'en souviens Elle se souvient, toi un peu comme te battre avec ta propre en rouge est une idéeMais encore faut-il savoir le voir et ça c'est plus compliquéSes doigts courent sur la tâche rouge. on fait pour enleverla poussière de sept années sur des yeux habitués à ne plus voir ? ...utilisez le balais SWIFFER! sorry....Tu pourrais tout simplement...CrAqUEr___Mais j'en sais RIEN, moi!Coup de poing, coup de rage sur le murEt va-t-en T'es responsable de rienCe n'était pas toi la psychopathe taréeC'était juste quelqu'un dans ta têteEt tu l'as tuéT'as de comptes à rendre à tomber cette pathétique envie d'être utile et barre-toi d' il t'en faut plus pour abandonner. Il était une fois tu étais aussi malade qu'elle. Vous avez traversé le sombre pays ensemble, et aujourd'hui tu ne peux pas la laisser tomber. Alors est-ce que pour une fois ça peut se passer comme dans les contes de fée? S'il vous plaît. Respire à fond. Tu vas trouver, tu trouves tu attrapes la bouteille dans sa avec ça en tout casSourireIl suffit de souffler dessusAh, les te rappelles des couleurs?Je suis sûre que tu peux les revoirElle sont partoutDans les rires des gensAu fond des nuits à Pré au LardPrès du cœur quand on se sent chez soiLa lumière d'une lampe quand on se croyait perdu en forêtUn enfant qui crie un nomUn ami qui réussit...Tu ne t'arrêteras pas de parlerAvant de voir ses yeux briller. Re Explore le chemin de traverseContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
— Jack Kerouac via soul-and-blues
Tout est en désordre. Les cheveux. Le lit. Les mots. La vie. Le cœur.“— Jack Kerouac via nemoanimus
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