🍺 Plan Bâtiment Vache Laitière Avec Robot Logettes
Nétant pas au taquet aujourd’hui, les deux robots permettent une aspiration du lisier sans contraintes majeures. David Féron et Jean-François Milet, du Gaec des Lierrus, ont mis en route en février 2018 une stabulation flambant neuve de 48 m de long et 38 m de large pour 120 logettes. Elle a la configuration classique d’un bâtiment
LInstitut de l’élevage vient de publier un document donnant les éléments pour réussir son bâtiment logettes pour les vaches allaitantes, accompagné de trois cas concrets : Logettes raclées lisier. Logettes
desbâtiments pour vaches laitières 6 Réalisée par les Chambres d’agriculture des Pays de la Loire et de Bretagne et l’Institut de l’Elevage 17 solutions de logement 62 à 129 places 4 solutions avec aires paillées 13 solutions avec logettes Temps de travail en bâtiment et gestion des déjections (hors alimentation et traite) 30 mars 2017 Bâtiments bien pensés, travail facilité
Fichestechniques de présentation de bâtiments d'élevage - bovin lait. Le domaine de Mons accueille depuis 1994 le conservatoire régional des cépages du Sud-Oues t
Lensemble de ces mesures a permis de fluidiser la circulation des laitières et d'optimiser le fonctionnement du robot dans le temps, en limitant aussi bien les périodes d'inactivité que celles d'engorgement. Les associés y ont aussi retrouvé la sérénité. Enfin, les résultats techniques prouvent que l'efficience économique est bien au
Lescoûts du bâtiment Logettes et caillebotis. Très bonne fréquentation des logettes avec des vaches propres. • 3 fosses à lisier occupant 85 % du sous-sol du bâtiment, recouvertes de caillebotis (aire d’exercice) ou de dalles en béton (logette et couloir central). • 3 brasseurs électriques programmés fonctionnant 15 minutes par
Uneavec vaches laitières en logettes: ALTEC: Pailleuse suspendue modèle ARIANE avec 4 versions, automatisation envisageable: Pas d’installation 100% automatisée: KUHN - AUDUREAU S.A. Pailleuse suspendue KUHN TKS K2 Bedding Robot: Un 1er élevage bovins lait en 2018: LUCAS G: Projet de robot de paillage filoguidé pour caprins
Lemplacement du robot dans le bâtiment a été scrupuleusement choisi pour optimiser la circulation, le tri, la séparation et l’isolement des animaux, avec un minimum d'intervention humaine. Une contention mûrement réfléchie.
Estil pertinent de construire un bâtiment logettes pour des vaches allaitantes ? Non, économiquement ça ne tient pas. E Logettes . Livre blanc Le couchage des vaches laitières en bâtiment logettes. 14/06/2021 5 2 min de
hpv4nI. Chambre régionale d'agriculture d'Occitanie Siège et site d'Auzeville 24, chemin de Borde RougeBP 22107 - Auzeville31321 CASTANET TOLOSAN cedexTél. +33 05 61 75 26 00Fax +33 05 61 73 16 66accueil Site de Lattes Mas de Saporta Maison des agriculteurs CS 30012 34875 LATTES cedex Tél. +33 04 67 20 88 63 Fax +33 04 67 20 88 73
Cette exploitation est située dans le Morbihan. Elle a pour vocation la production de lait avec une référence de 725 000 l de lait sur 116 ha - FONCIER Environ 100 ha en location. - PRODUCTION 725 000L de lait - BÂTIMENTS Bâtiments récents. Stabulation vaches laitières 76 logettes, Stabulation génisses 90 places, nurserie de 26 places. Robot de traite. Hangar à fourrage 500 m². Fosse 1500 m3. 2 silos à maïs. - MATÉRIEL Divers matériels à reprendre avec l'exploitation. A VENDRE bâtiments avec assise foncière + matériel + cheptel + stocks Ce bien vous intérésse ? CONTACTEZ-NOUS ! Contacter un conseiller au 02 97 25 52 45 DU LUNDI AU VENDREDI DE 9H à 17H30
À défaut de pourvoir construire un bâtiment neuf, Adrien Vérot et Sébastien Calvo ont fait évoluer leur stabulation en misant sur le confort et la simplification du travail. Depuis l’hiver dernier, un robot assure l’évacuation du lisier des couloirs bétonnés. Adrien Vérot et Sébastien Calvo sont associés au sein du Gaec du Confluent à Charnay-lès-Chalon. Couvrant 190 hectares entre la Saône et le Doubs, l’exploitation se partage entre 110 hectares de grandes cultures et un atelier laitier de 58 montbéliardes pour litres de lait livré. Au début des années 1970, le père d’Adrien n’avait alors qu’une dizaine de vaches laitières avant qu’une stabulation ne soit construite à la fin de la décennie. Elle comportait déjà des logettes creuses paillées sur terre battue ainsi que des couloirs raclés. Dans la foulée de l’installation d’Adrien en 2006, le bâtiment a été rallongé de 30 à 42 mètres et la collecte des effluents a été mise aux normes par la création d’une plateforme à fumier et d’une fosse à lisier. Les associés en ont profité pour remplacer le système de raclage par un nouveau racleur automatisé à chaîne. Ce rabot raclait de façon autonome deux fois par jour, mais il fallait toujours être présent pour surveiller une chaîne de reprise du fumier qui avait tendance à dérailler », font état les associés. Miser sur le confort des animaux Depuis 1994, les logettes en terre battue avaient été bétonnées. Toujours paillées, le confort était meilleur mais les vaches souffraient quand même de problèmes de jarret, de boiteries… », se souvient Adrien. À l’installation de Sébastien en 2014, ces logettes ont été rénovées avec des tubulures plus hautes adaptées au gabarit croissant des vaches de l’élevage 2,40 m de longueur. Les deux associés ont fait le choix de recouvrir le sol de leurs nouvelles logettes avec des matelas haut de gamme. Ce changement a eu un effet remarquable sur la santé des animaux moins de frais vétérinaires, moins de réforme, des vaches qui vieillissent et un gain de production de près de litres par vache ! », font valoir Adrien et Sébastien. Même à 150 € par place, les associés ne regrettent pas d’avoir investi dans ces matelas. Un coût qu’ils comparent au prix des nombreux traitements antibiotiques 100 € par vache qu’ils étaient obligés d’administrer quand les vaches souffraient de problèmes de pattes. Et les tapis étaient aussi une solution au manque de place de leur bâtiment rénové. Car sur son exploitation cernée par les terres inondables, le Gaec ne pouvait pas compter sur un bâtiment neuf. La seule solution était d’adapter l’existant et faute d’espace, les deux éleveurs ont misé sur le confort des animaux. Robotiser le raclage ? Le raclage demeurait un problème avec l’astreinte de devoir surveiller chaque jour le bon fonctionnement de la vieille chaîne de curage. De ce fait, chaque soir, il fallait trois personnes pour assurer la traite, le pansage, le paillage et le curage, confie Adrien. Des robots racleurs de type pousseurs » existaient sur le marché, mais le bâtiment était trop long pour eux. Alors les deux associés ont eu vent d’un type de robot capable d’aspirer le lisier. Le constructeur leur en a fait voir un en service en Haute-Savoie puis il est venu étudier la possibilité d’en installer un sur l’exploitation de Charnay-lès-Chalon. À la grande satisfaction d’Adrien et de Sébastien, le projet a pu être validé par le bureau d’étude du fabricant, mais, du fait du succès de ce nouveau procédé, le délai d’attente pour la livraison de la machine devait être de deux ans ! Les choses sont finalement allées plus vite que prévu et au mois d’octobre 2019, le constructeur annonçait aux associés que le robot serait installé fin décembre ! Un petit tremblement de terre pour le Gaec alors que le troupeau était en pleine lactation, que les vêlages étaient nombreux et que l’hiver arrivait. Une dizaine de jours pour tout changer ! Premier défi trouver rapidement un maçon. C’est un artisan de Saint-Martin-en-Bresse entreprise Chassagne qui a su relever le challenge. Une autre difficulté du chantier a été de devoir interrompre le raclage pendant les travaux. Le fumier a dû être évacué à l’aide d’un mini chargeur et du 10 au 14 décembre, Adrien et Sébastien ont été contraints de faire dormir leurs vaches dehors… ». L’ancien racleur automatique a été démonté. Les passages de chaîne du système ont été rebouchés. En bout de bâtiment, au niveau de la pré-fosse existante, une aire sur caillebotis a été aménagée pour la vidange du futur robot. La marche qui reliait les deux couloirs de la stabulation au bout du bâtiment a été supprimée pour permettre la circulation de la machine. Contrôle du robot par smartphone Le chantier n’a pris qu’une dizaine de jours et ce malgré des conditions météorologiques peu favorable au séchage des bétons. C’est le constructeur lui-même qui est venu installer et mettre en service le robot. Il a fait effectuer à la machine ses premiers tours de circuits en commande forcée grâce à un système de télécommande. Le robot mémorisait des parcours que les utilisateurs ont à leur disposition aujourd’hui. Au Gaec du Confluent, le robot dispose de cinq circuits différents qui permettent de curer toute la surface bétonnée de la stabulation. Les utilisateurs ne peuvent pas modifier le tracé de ces circuits, mais ils peuvent choisir parmi les cinq et intervenir sur la programmation de ces cycles dans la journée. La commande et le suivi des interventions se font à l’aide d’une application sur smartphone. En cas d’anomalie, le robot avertit l’éleveur par bluetooth ou par signal sonore. La machine s’immobilise en cas d’obstacle sur son chemin une vache couchée ou s’il est dévié de sa trajectoire…. Le raclage robotisé est déclenché 17 fois par jour en hiver, l’équivalent de 7 heures de fonctionnement, informent Adrien et Sébastien. En été, environ 13 passages suffisent. Pour ne pas déranger les vaches pendant leur repas ni les inséminateurs, la machine n’intervient pas derrière les cornadis entre 6h et 13h. 3h15 de travail en moins chaque jour Mis en service le 21 décembre dernier, le robot a tenu toutes ses promesses. Le premier effet s’est immédiatement ressenti en termes d’allègement du temps de travail. Le Gaec estime avoir gagné 3 heures 15 de temps de travail par jour ! C’est plus que le coût d’un apprenti », calculent Adrien et Sébastien. Outre le fait de ne plus avoir à veiller au bon fonctionnement de la chaîne de curage, les associés apprécient de ne plus avoir à pailler les logettes. À la place de la paille, ils épandent de la farine de paille. Quatre tonnes de farine de paille à 250 €/tonne couvrent les besoins d’une année, font-ils valoir. Nous économisons ainsi 150 bottes de paille que nous n’avons plus à presser. Plus besoin de pailleuse non plus, ni de chantier d’épandage du fumier », font valoir Adrien et Sébastien. Et pour les vaches, elles n’ont plus à esquiver la chaîne du racleur ou le rabot. C’est un sol bétonné sans obstacle qu’elles ont sous leurs pieds. Lucides, les deux associés reconnaissent que d’avoir voulu moderniser un bâtiment ancien leur est probablement revenu aussi cher qu’une construction neuve, mais la configuration du parcellaire ne le permettait pas. À lui seul, le robot a coûté € et la maçonnerie Le Gaec a pu bénéficier d’une subvention de la MSA dans le cadre de la réduction de la pénibilité du travail.
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